La Cour supérieure condamne Pierre Khouzam à verser plus de 10 M$ à son ex-employeur Corporatek, victime d’une chaîne de Ponzi qu’il a orchestrée en émettant des actions frauduleuses et détournant des fonds. Khouzam est reconnu coupable d’abus et fraude, et doit aussi payer des dommages punitifs.